quinta-feira, 30 de outubro de 2014

Voila le portrait sans retouche

Piaf aimait le boxer et a consacrée des oeuvres formidables aux memoires qu'il lui a ofert. Je ne me trouve pas comme Mademoiselle chanteuse, mais, plus précisement, comme une mademoiselle qui aime et, comme ça, j'aimerais bien dire des petits mots. Peut-être une petite lêtre (?) ...



À Toi.

Tu vois, les bagages des mes voyages, j'ai oubliée d'aporter avec moi chez toi. C'est trop simples: mes rêves ont une nouvelle couleur, un goût de caramel unique. Je suis remplie et je suis heureuse! Tout ce que je veux, maintenant, c'est commencer un bagage differént, avec toi. Un bagage pour rester. Prend ma main et reste. Reste ici comme j'ai restée.
C'est pas vraiment un jeux d'enfant, mais on est cap. Je le sais (et toi aussi). On est cap pour accepter la bonneur, le soin, les mots d'amour. On est cap pour joeur, dancer et chanter une éternité de scènes qui sont encore à venir.
Tout bas, tu m'a écoutée en train de chanter un extrait d'une mélodie très connue. Une musique avec tant d'expression et sens. Allons-y! Tu sais bien que tes yeux sont "des yeux qui font baisser les miens", et que mon rire avec toi c'est "un rire qui se perd sur sa bouche". Et, bon, "voila le portrait sans retouche, de l'homme auquel j'appartiens." Aussi, toutes tes traces sont coincé dans ma peau. J'attache, tout les jours, la façon particulière et énigmatique que tu me regarde - avec tant éclat et brillance.
"Oui". C'est mon premier mot de tout ce monde qui nous attend.

Je t'aime.
T'on ange.

"Alors je sens dans moi mon coeur qui bat".

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